Avant de parcourir des kilomètres ou de grimper des escaliers, consultez le web tranquillement de chez vous. Vous vous ferez une idée du montant des locations par quartier, par type d’appartement.
2 - Prenez rendez-vous sur le site
Dès l’instant où vous savez, en fonction de vos études, de votre travail, du temps de trajet que vous voulez sacrifier, dans quel secteur vous voulez aller,et dans quelle surface vous voulez vivre, prenez rendez-vous avec plusieurs agences. En fonction de vos souhaits et de vos revenus, elles vont vous proposer plusieurs biens. Elles peuvent aussi trouver un bien correspondant à vos envies, être dans votre budget et seulement à proximité de là où vous projetiez de louer, voire trouver plus loin mais plus grand. Allez dans contact a gauche et me laisser votre nom, prénom, numéro et message.
3 - Louez au juste prix
Les agences connaissent les biens qu’elles louent soit en direct, soit par un cabinet d’administration de biens. Avant de prendre un mandat de gestion, elles visitent le bien, évaluent le standing, les prestations, exigent les diagnostics obligatoires pour la location, font des comparaisons de voisinage. Un vrai travail qui permet d’aboutir à un prix locatif le plus juste et de justifier des charges.
4 - Préparez votre dossier avec attention
En amont de la visite, l’agence va vous demander de constituer un dossier rigoureusement orchestré pour le présenter au bailleur mais aussi pour mettre le plus de chances du coté du locataire. Dans les secteurs tendus, les candidats à la location sont nombreux et la bonne présentation d’un dossier est un plus. L’agence va vous aider en vous récapitulant tous les papiers demandés avant le jour de la visite. Et comme il peut y avoir concurrence entre les agences, mieux vaut que votre dossier soit sérieusement étayé (fiches de salaires, état d’ancienneté dans l’entreprise, caution éventuelle et parfois lettre de motivation pour le logement visité).
5 - N’oubliez pas les honoraires !
En contrepartie de la rédaction du bail, de l’état des lieux, de la constitution du dossier, en tant que locataire vous devez verser des honoraires qui correspondent environ à un mois de loyer. La loi ALLUR prévoit de définir le montant de ces honoraires par décret.
Vendre un bien en copropriété s’avère de plus en plus complexe avec la loi ALUR. Vous devrez produire des tas de documents dès l’avant-contrat. Votre agence peut vous être d’un grand conseil.
Déjà avant la loi ALLUR, (accès au logement et à l’urbanisme rénové), le vendeur devait produire de nombreux documents à son acquéreur. Mais avec la loi du 27 mars 2014, ces documents, enrichis, devront être communiqués dès la promesse de vente.
Les pièces à annexer à l’avant-contrat de vente
La charge s’alourdit. De façon précise et en tant que vendeur dans une copropriété, voici la liste des pièces, à communiquer à votre acquéreur lors de l’avant-contrat, définie par l’article 54 de la loi allur :
la fiche synthétique de la copropriété ;
le règlement de copropriété et l’état descriptif de division ainsi que tous leurs modificatifs éventuels ;
les procès-verbaux des assemblées générales des trois dernières années ;
le montant des charges courantes du budget prévisionnel et des charges hors budget prévisionnel payées par le copropriétaire vendeur au titre des deux exercices comptables précédant la vente ;
les sommes pouvant rester dues par le copropriétaire vendeur au syndicat des copropriétaires et les sommes qui seront dues au syndicat par l'acquéreur ;
l'état global des impayés de charges au sein du syndicat et de la dette vis-à-vis des fournisseurs ;
lorsque le syndicat des copropriétaires dispose d'un fonds de travaux, le montant de la part de ce fonds rattachée au lot principal vendu et le montant de la dernière cotisation au fonds versée par le copropriétaire vendeur au titre de son lot ;
le carnet d'entretien de l'immeuble ;
l’attestation de la superficie de la partie privative et de la surface habitable du lot vendu ;
une notice d'information relative aux droits et obligations des copropriétaires ainsi qu'au fonctionnement des instances du syndicat de copropriété;
le diagnostic technique global de l’immeuble : état apparent des parties communes et des équipements communs ; diagnostic de performance énergétique ; analyse des améliorations possibles de la gestion technique et patrimoniale ainsi que le plan pluriannuel de travaux dans le cas où la mise en œuvre de ces dispositions, issues de la loi ALLUR, a été décidée par la copropriété.
Taux d'intérêt légal
Nous assistons depuis 1997 à une véritable explosion du crédit immobilier. Ce développement hors norme a créé une course au profit des établissements financiers. Plus soucieux d’accélérer leur accroissement que de la rigueur et du respect des règles de droit, nous constatons de plus en plus de condamnations des banques.
L’incontestable laissé pour compte reste l’emprunteur qui subi l’irrespect des textes de loi. En conséquence de quoi, son crédit lui coûte plus cher que prévu.
Que vous soyez un professionnel, un investisseur ou un particulier, on vous offrira la même écoute et le même suivi de qualité. Nous veillons à proposer un service de proximité, toujours réactif et disponible.
Notre rôle est de vous accompagner à chaque étape du processus afin d’obtenir réparation du préjudice lorsque votre banque s’exonère de ses obligations légales.
En effet, environ 75% des offres de prêts ne seraient pas conformes au code de la consommation.
Après une première analyse gratuite nous vous transmettons une proposition d’action qui génèrera, au terme de notre mission, un remboursement d’une partie de vos intérêts d’emprunt payés ainsi que la possibilité de diminuer votre endettement grâce à une réduction du taux d’intérêts.
Nos analystes, juristes et experts financiers étudient gratuitement vos offres de prêt afin de mettre en évidence les points litigieux.
Après votre accord, nos experts entament une procédure amiable auprès de votre banque et négocient vos indemnités au titre de l’application du code de la consommation.
A défaut d’accord amiable, une procédure judiciaire est lancée et votre banque est assignée.
Avant le 1er janvier 2015, ce taux était identique en matière civile et commerciale, et servait notamment au calcul des intérêts moratoires dus par un débiteur après mise en demeure.
Fixé chaque année, il était égal "à la moyenne arithmétique des douze dernières moyennes mensuelles des taux de rendement actuariel des adjudications de bons du Trésor à taux fixe à treize semaines".
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